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Spiruline de Rochefort

La spiruline

La spiruline est le seul marin d’eau douce de La Route des Saveurs Maritimes, mais elle en vaut la peine !

Alors faisons connaissance : il s’agit d’une effet d’une micro-algue, élevée dans des bassins hors sol sous serre dans une eau à 30°c. Considérée comme « micro », elle est tellement discrète qu’elle n’est pas visible à l’œil nu et nécessite l’usage d’un microscope.

Pas de méprise, aucun chauffage n’est nécessaire pour l’élaboration de la spiruline française, les bassins sont simplement chauffés par la serre, elle-même naturellement chauffée par le soleil.

Seule une agitation des bassins est nécessaire pour faire circuler la spiruline dans les différentes couches d’eau (éclairée en surface, sombre au fond).

Les récoltes ont lieu plusieurs fois par semaine en période de production, de début avril à fin octobre. Le séchage est effectuée à basse température pendant 15 à 20 heures à l’aide de puissants ventilateurs et d’un déshumidificateur électrique, sans aucun chauffage afin de conserver toutes les valeurs nutritionnelles.

Pour résumer, le processus de fabrication nécessite un travail humain important, mais reste simple : la spiruline qui est en surface est récoltée par tamisage, on la sèche et on la met en sachet.

100% naturelle, la spiruline paysanne de France ne nécessite aucun pesticide et est paradoxalement peu consommatrice en eau.

Spiruline © Spiruline de Rochefort

Pour en savoir plus sur la spiruline de chez nous, c’est par ici : www.spiruline-de-rochefort.fr

Quelques informations pour briller en société spirulienne

En pleine saison de production, un bassin contient 0.04% de spiruline. Tout le reste est constitué d’eau potable, de sels minéraux et d’oligo éléments. Le travail du spirulinier est donc de passer de 0.04% à 100%.

 

Une goutte d’eau d’un bassin contient entre 500 et 1000 brins de spiruline microscopiques. Un spirulinier cultive donc des centaines de milliards de brins de spiruline dans ses bassins à un instant T. Quand on aime la spiruline, on ne la compte plus !